lundi 28 septembre 2015

"Upside down" - C'est beau, mais c'est chiant.

Cher gens de le web,

Aujourd'hui, Ragnagna Mangedécroûtes elle te spoile "Upside down" (enfin, plus ou moins).
Alors, c'est l'histoire d'un mec vachement mal peigné qui a hélas le même coiffeur que Halle Berry dans "The call" (cf la ChroniqueàRagnagna sur "The call"). Sauf que pour lui, on va dire que s'il est peigné comme un cul de yéti par grand vent c'est aussi à cause de la gravité (on ne peut pas toujours tout mettre sur le dos du coiffeur, ce serait injuste).
En gros, il passe son temps à regarder des gens à l'envers (ce qui lui vaut très probablement une cervicalgie chronique assortie d'un budget ostéo équivalent au PIB du Burkina Faso). Mais malgré une vue panoramique et chronique sur les crottes de nez de Kirsten Dunst quand il lui roule des pelles, il arrive quand-même à tomber amoureux d'elle.
Et soudain, à la 10 ème minute du film, il arrive un truc absolument époustouflant : 
Je me suis endormie.


lundi 14 septembre 2015

"The call" - Chroniques d'un désastre capillaire.

Cher gens de le web,

Aujourd'hui, Ragnagna Mangedécroûtes elle te spoile "The call" avec Halle Berry.
Alors, c'est l'histoire d'une nana que son coiffeur déteste (tu comprendras quand tu verras sa coupe) et qui accessoirement est opératrice (non, pas celle avec le scalpel, celle avec le téléphone) au naïneouaneouane de la police de la gendarmerie du FBI des États-Unis des States of America.
Pendant les 3/4 du film, elle essaie d'oublier le drame capillaire de sa vie en tentent de sauver une jeune fille des griffes d'un serial killer qui fait rien qu'à conduire des voitures en écoutant Enrico Macias à fond les ballons pendant que sa victime repeint le coffre de la voiture avec un tournevis et un Mobicarte qu'a même pas la 4G.
À la fin, comme rester assis trop longtemps c'est pas bon pour les hémorroïdes, Halle décide de faire un groupe de un et d'aller promener sa permanente de l'enfer du côté de chez le serial killer (des fois que le taux d'hygrométrie de la cave du psychopathe lui défriserait les pointes, on sait jamais).
Et là, tu réalises à quel point les scénaristes ils sont super subtils dans la génialosité du suspeMse qu'on fait avec les pieds. Pour faire que Halle elle ait une bonne excuse pour aller sauver la blonde toute seule avec ses frisettes pourries comme seule arme contre le mal, sans le GIGN des États-Unis des States of America : Le téléphone il tombe dans la cave et il capte pas didondidon (fallait pas pacherchechoche, ça lui fera les pieds).
Alors là, elle a deux options :
1 - Elle prend sa voiture et elle court jusqu'à la station service la plus proche pour appeler le naïneouaneouane.
2 - Elle est con et elle décide de descendre dans la cave récupérer son téléphone (un authentique tacot téléphonique du pléistocène numérique, mais c'est un cadeau de sa Tata vous comprenez, elle y tient).

Je vous laisse délibérer quelque secondes avant de vous donner la réponse.
...
...
...
*Petite musique d'ascenseur* ♪♪♫♫
Bon... Elle descend récupérer son téléphone. Et elle se dit que tant qu'elle y est, elle pourrait peut-être visiter la cave histoire de ne pas être venue pour rien.
Heureusement, sa lampe de poche elle, en revanche, elle capte la 4G et elle fait de la lumière. C'est commode pour s'orienter quand-même parce que c'est une cave (on vous le rappelle, suivez un peu), il fait nuit et il n'y a pas de baies vitrées (sont vachement malins les scénaristes).
Après s'être cachée dans une armoire pour taper la causette avec les mites pendant que le serial killer joue à la Barbie avec des perruques blondes, Halle sauve in extremis la jeune fille (que le méchant a laissée en soutien-gorge parce que ça doit être plus pratique pour la scalper... enfin... on est pas sûrs... mais il doit bien y avoir une raison technique qui nous échappe).
Bon, on passera sur les scènes de bagarre, de je meurs-tu-meurs-je ressuscite-aïe-même pas mal, pour vous livrer la fin qui est tout de même vachement décevante : 
Halle elle finit le film aussi mal peignée qu'au début.

lundi 7 septembre 2015

Parlons correc' - Errances capillaires

On ne dit pas : "Il est peigné comme un cul de yéti par grand vent"
On dit : "Il a un tempérament capillairement subversif et anarchiquement foisonnant"

jeudi 3 septembre 2015

Brisons un mythe - Le bâtard de l'espace

Brisons un mythe :
Goldorak est le rejeton adultérin d'un châssis de Fiat uno et d'un Playmobil en polymère thermomoulé à la louche.